J’ai voyagé au delà des monts et des vaux. Là où les gens ont leur propre horizon.
J’ai découvert des lieux, des couleurs et des mondes. Ces mondes que l’on voit de l’autre côté du miroir, à une encablure de fenêtre.
La fenêtre.
Là où naissent les courants d’airs. Là où l’on flirte avec sa liberté.
Tel un colon éphémère à la lisière du voisinage, on s’approche de la fenêtre, ce lieu de rendez-vous transparent qui laisse passer les pensées.
Volontairement ou non, ce rendez-vous ce propose à nous chaque jour.
C’est
un lieu de passage obligatoire.
C’est alors que, attiré par un besoin de curiosité vitale, on ose l’ouvrir !
Comme pour se prouver que l’on a accès à la liberté, à ses pensées, à son horizon.
On s’y installe. Tantôt pour rêvasser, tantôt pour s’inspirer, inspirer, expirer...
On devient publique et on rejoint les passants le temps d’un pas. Partir avec eux à la cueillette d’un autre lointain.
Une fenêtre
ouverte c’est laisser entrer les sons, les bruits, les odeurs, ... ou laisser sortir ses moments de vie.
Notre espace devient réversible. Qui est dedans, qui est dehors !?
L’horizon, parce qu’il le volet bien.
- L. Oréal -Le fenêtre répond à la rue. Elle s’ouvre au passage du cortège et s’amuse des spectacles qui s’y jouent. Elle est abonnée aux humeurs de la rue. Le volet mi ouvert devient un clin d’oeil lorsqu’on la croise du regard.
Clic. A la fenêtre, vous vous êtes mis dans un cadre, vous avez créé un tableau, vous êtes devenus ce tableau.
Clic. Merci à vous toutes et tous de part le monde pour ces tableaux, vous m’avez chatouillé l’oeil. Merci.
Merci Madame Paulette Moulina la joconde d’Aurillac.
De l’autre côté de la fenêtre, c’est la plus grande pièce.
- Ali Kéa -A chaque fenêtre son horizon. A chaque horizon un espoir de liberté.
- A. International -What kind of windows ?
- A. Ppel -Clic. A la fenêtre, vous vous êtes mis dans un cadre, vous avez créé un tableau, vous êtes devenus ce tableau. Clic. Merci à vous toutes et tous de part le monde pour ces tableaux, vous m’avez chatouillez l’oeil. Merci.
Ferme la fenêtre, j’ai froid !
- Mon Père -